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Synopsis

Andrés Marín: danser depuis la passion

Se perdre dans sa passion plutôt que perdre sa passion
Saint Augustin... ou Kierkegaard, « según se mire »

Andrés Marín promène depuis longtemps son profil en lame de couteau et son flamenco graphique sur les tréteaux du monde entier. Beaucoup de choses ont été dites et écrites sur sa danse : géométrique, hiéroglyphique, expérimentale ou risquée, et nombreux sont ceux qui voient dans sa silhouette peu académique une des expériences artistiques les plus emblématiques et créatives de la scène flamenca actuelle.
Danseur passionné et inquiet, éloigné de tout type de certitudes, Andrés Marín est profondément radical, au sens étymologique du terme, un danseur des racines. Chaque fois qu'il entre en scène, il se met en danger, s'interroge et fouille dans les entrailles du flamenco. La nouveauté pour la nouveauté ne l'intéresse pas, pas plus que de revisiter la tradition depuis une sacralisation paralysante et stérile. Andrés Marín s'est ainsi tracé un chemin étroit qui l'amène aujourd'hui à relire son propre flamenco, à défaire le chemin pour mieux le réécrire depuis la sobriété que lui procurent sa connaissance et sa jondura.

Son dernier spectacle, La pasión según se mire (Regards sur la passion) est sans doute l'une de ses créations les plus personnelles. Car ce qui définit le mieux le chorégraphe sévillan est cette énergie qui le pousse et la passion qui l'anime, pour les maestros et pour le chant, depuis le respect le plus profond. Et aussi l'admiration infinie qu'il porte à ses parents, deux grands artistes eux aussi, ses deux sources primordiales. C'est là que réside sa loyauté au flamenco, et c'est depuis cette loyauté qu'il invite ces figures de proue que sont la volcanique danseuse Concha Vargas, Lole Montoya, voix tellurique, et José el de la Tomasa, cantaor dynastique. Trois immenses artistes et peut-être davantage encore : trois évidences, irremplaçables dans leur flamenco nucléaire. Ils sont le corps et le cœur de ce dialogue, échos d'un hier si présent, dont le futur du flamenco ne peut se dispenser.
La lecture de la passion que nous propose Andrés Marín est « opera aperta ». Elle s'éloigne de tous les clichés, elle cherche moins à représenter ou à raconter la passion qu'à permettre au spectateur d'en faire l'expérience, l'invitant à partager à travers sa danse la force qu'elle engendre. L'artiste n'attend pas l'improbable rendez-vous avec la passion, il va au-devant d'elle tout en se laissant emporter par son impulsion. Et il doit se mouvoir sur une frontière fragile, un bref interstice entre la douleur et la force vitale, dressant son corps comme un point d'interrogation tendu vers le ciel dans l'espoir d'arracher à la passion toute son incandescence, la dépouillant de tous ses artifices, de tous ses excès. Pour ne pas se laisser emporter dans sa spirale destructrice, pour au contraire travailler sur la force et la faire puissance. La réduire à une pure énergie tout entière tournée vers un seul but, retrouver le chaînon manquant, la Passion des passions.

Jean-François Carcelén
Grenoble, janvier du 2010

Équipe Artistique

Première in the XIV Festival de Jerez
March 3rd, 2010. Teatro Villamarta


baile Andrés Marín

artistas invitados Lole Montoya, José el de la Tomasa, Concha Vargas

cante José Valencia, Pepe de Pura

guitarras Salvador Gutiérrez, David Marín

laúd árabe Yorgos Karalis
marimba y percusión Daniel Medina
percusión flamenca Antonio Coronel
clarinete Javier Delgado
tuba José Miguel Sanz

coreografía Andrés Marín
dirección artística Andrés Marín, Pilar Albarracín
dirección musical Andrés Marín, Salvador Gutiérrez
diseño de luces Ada Bonadei (VanCram)

dirección técnica Ada Bonadei (VanCram)
sonido P.A. Rafael Pipió
sonido monitores Manu Meñaca
regiduría Balbi Parra

sastrería Teresa Baena
dibujos Sergio Pavón
fotografía Luis Castilla
diseño gráfico Fabulario
texto Jean-François Carcelén
producción ejecutiva Emilia Gallo, Daniela Lazary
producción Andrés Marín Flamenco Abierto S.L/ Agencia Andaluza para el Desarrollo del Flamenco

distribución Andrés Marín Flamenco Abierto, S.L./ Arte y Movimiento Producciones

Acto I

Al cante:
Lole Montoya
Pepe de Pura
José Valencia

Salvador Gutiérrez (Guitarra flamenca)
David Marín (Guitarra flamenca)
Yorgos Karalis (Laúd árabe)
Daniel Medina (Marimba)
José Miguel Sanz (Tuba)
Antonio Coronel (Percusión flamenca)

Al baile:
Andrés Marín con la colaboración especial de Concha Vargas

Acto II

Al cante:
Lole Montoya
José el de la Tomasa

Salvador Gutiérrez (Guitarra flamenca)
David Marín (Guitarra flamenca)
Daniel Medina (Marimba)
José Miguel Sanz (Tuba)
Javier Delgado(Clarinete)
Antonio Coronel (Percusión flamenca)

Al baile:
Andrés Marín

Tournée

DateSpectacleVilleThéâtre
03-03-2010LA PASIÓN SEGÚN SE MIREJerez de la Frontera (ES)Teatro Villamarta
20-09-2010LA PASIÓN SEGÚN SE MIRESevilla (ES)Teatro Lope de Vega
25-09-2010LA PASIÓN SEGÚN SE MIREDüsseldorf (DE)Altstadtherbst Theaterzelt
26-09-2010LA PASIÓN SEGÚN SE MIREDüsseldorf (DE)Altstadtherbst Theaterzelt
27-09-2010LA PASIÓN SEGÚN SE MIREDüsseldorf (DE)Altstadtherbst Theaterzelt
14-01-2011LA PASIÓN SEGÚN SE MIRENîmes (FR)Théâtre de Nîmes
09-04-2011LA PASIÓN SEGÚN SE MIREColomiers (FR)Teatro Hall Commiges
29-04-2011LA PASIÓN SEGÚN SE MIRECreteil (FR)Maison des Arts
24-05-2011LA PASIÓN SEGÚN SE MIREAmiens (FR)Grand Théâtre
15-10-2011LA PASIÓN SEGÚN SE MIRELa Haya (NL)Lucent Danstheatre
31-03-2012LA PASIÓN SEGÚN SE MIREMetz (FR)Théâtre de L'Arsenal

Presse

GANADOR DE DOS PREMIOS GIRALDILLO.
XVI BIENAL DE FLAMENCO DE SEVILLA (2010)


DIARIO DE JEREZ 04/03/2010
"L'inclassable Andrés Marín a présenté hier soir au théâtre Villamarta la première de son spectacle La pasión según se mire, un éventail d'émotions et de pulsions effrénées qui constitue probablement son œuvre maîtresse (...). Ses figures de danse abstraites, conceptuelles, expressionnistes, très stylisées, semblent sorties d'un tableau de Munch ou du Nosferatu de Murnau, à la fois magnétiques, hypnotiques et inquiétantes."
(Francisco Sánchez Múgica)


INFORMACIÓN JEREZ 04/03/2010
"Génial ! Il n'y a rien à ajouter. (...) C'est une création débordante d'imagination, qui fait éclater les moules conventionnels, un donquichottisme heureux. C´est de l'art en liberté ! Andrés Marín est entré dans l'histoire de l'imaginaire collectif."
(Luís Román)


EL PAIS 05/03/2010
"Dans ce spectacle, Marín a su mettre en perspective des éléments très variés pour donner libre cours à sa double passion : innover tout en restant fidèle à la tradition. De cette apparente contradiction surgit, dans une dialectique constructive, si ce n'est son spectacle le plus parfait, en tout cas le plus ouvert."
(Fermín Lobatón)


FLAMENCO-WORLD.COM 05/03/2010
"Après le spectacle radical El cielo de tu boca, alliant flamenco et les cloches, que nous réservait le suivant ? Eh bien, le spectacle suivant est un pas de géant dans la trajectoire créative d'Andrés Marín. Dans La pasión según se mire, l'artiste sévillan est parvenu à réunir son discours conceptuel et son discours esthétique, et il plonge au plus profond de ses racines et de sa liberté."
(Silvia Calado)


DEFLAMENCO.COM 05/03/2010
"Andrés Marín fait partie de ces artistes qui risquent tout, qui osent tout. Pas pour s'enrichir ni pour passer à la télévision, mais parce que son environnement, son génie et son besoin spirituel ne lui permettent pas d'emprunter un autre chemin. C'est à mon avis le danseur de flamenco le plus honnête et le plus intègre de notre temps."
(Estela Zatania)


DIARIO DE JEREZ - Bilan du XIVe Festival de Xérès - 15/03/2010
"Andrés Marín et Rafaela Carrasco ont présenté au cours de la première semaine deux des spectacles les plus surprenants que nous avons eu l'occasion de voir au théâtre ces dernières années. Andrés Marín a présenté la première de son spectacle La pasión según se mire, une proposition provocante où il a définitivement jeté un pont entre la modernité et la tradition."
(Francisco Sánchez Múgica)


EL PAÍS - Bilan du XIVe Festival de Xérès - 15/03/2010
"Des cinq premières qui étaient à l'affiche, les plus impressionnantes ont été les nouveaux spectacles d'Andrés Marín et de Belén Maya, dans un panorama où modernité et tradition se sont côtoyées."
(Fermín Lobatón)

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